şuracığa yazılamaz on ne peut pas écrıre à côté
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şuracığa yazılamaz on ne peut pas écrıre à côté
ON NE PEUT PAS ÉCRIRE À CÔTÉ ÞURACIÐA YAZILAMAZ c’est le précipice désormais d’idoines secrets en thérapeutes métropoles bu uçurumudur bundan böyle metropol derviþleri þeklinde aranan sýzlarýn II II la mort chaque matin a ce regard bleu d’en face ölüm her sabah o mavi bakýþla bakar karþýdan et le ciel ces couleurs de savane où se meurent les rapaces noirceurs ve gökyüzü, yýrtýcý siyahlýklarýn can çekiþtiði o savana renkleri aurai-je à perdre les doigts le prince d’opale et les tendres gelées de groseille ? yitirmek zorunda mý kalacaðým parmaklarýmý opal prensi ve taze frenküzümü peltelerini? (comme à tes yeux vermeille était l’image sucée jusqu’à la trame de retour) (senin lâl gözlerine ait olduðu gibi, dönüþün örgüsüne kadar emilmiþ imge) éternel drame que hurle en basse-cour le chien peké du voisinage mahallenin tüyleri dökülmüþ köpeðinin kümeste uluduðu sonsuz dram la mort chaque matin déflore l’aube en plein ciel et sur les collines en amont se crevasse l’amoncellement des cadavres anciens ölüm her sabah göðün alnýnda kýzlýðýný bozar safaðýn ve tepelerin yukarýlarýnda çatlar eski cesetlerin üst üste yýðýlmasý N° 100 OLUSUM/GENESE , 17 III III torves torpeurs des fonds de nuit verres de lait peaux de souffrance belles à craquer gece sonlarýnýn ters uyuþukluklarý süt bardaklarý yüzmesi hoþ ýstýrap derileri deux vieilles sœurs à cachous deux vieilles banquettes deux métronomes kýzýl kahverengi iki kýzkardeþ iki eski banket iki metronom vision vicieuse du regard vieilli d’un voyage aux vermines (l’iris dans les roses et l’orgueil de se taire) içini kemiren þeylere yolculuktan kocamýþ, kokuþmuþ saplantýsý bakýþýn (güller içinde gözbebeði ve susmanýn kibri) l’horizon bizarrement de lumière au balcon blême des toits ýþýðýn tuhaf bir biçimde ufku çatýlarýn külrengi balkonunda Huit et demi trop de paroles pour l’attente de l’autre qui comprend et ne vient pas Sekiz buçuk çok fazla söz beklerken ötekini düþünen ve gelmeyeni minuit putain tu bandes à part et ton lit par terre te ressemble bambaþka baðlarsýn rezil geceyi ve sana benzer yer yataðýn (…) (…) 18 OLUSUM/GENESE N° 100 ,